Source: The Conversation – UK – By Tory Young, Associate Professor in Department of English Literature, Anglia Ruskin University
Canadian-born, Hungarian-British writer David Szalay has won the Booker prize for his novel, Flesh. It follows the eventful life of one Hungarian, István, from his teen years to middle age.
The novel begins when István, aged 15, and his mother move to a new town – “it’s not an easy age to do that”. Although he struggles to make friends, he hangs out with “another solitary individual” who asks him if he’s “ever done it”. This new friend sets him up with “a girl” but nothing happens. István is confused by this and his blank passivity sets the tone for the novel and his life.
Within only a few pages, an older woman neighbour for whom he’s undertaking chores at the behest of his mother, grooms him into a sexual relationship. It ends in tragedy when he falls in love with her and pushes her husband down the stairs, to his death.
Put crudely, István is motivated by sex and acts with violence. But this misrepresents the novel and its power. Rather than presenting a cliché of brute manhood, Szalay portrays a man who is simply responsive to the world around him. István’s emotions and tragedies are often left out of the third-person storytelling, as if they cannot be explained. Other men in the novel are equally uncommunicative.
It’s a propulsive novel that’s quite quick to read because sparse dialogue is interspersed with István’s blank thoughts. He responds to declarations of love and desire with a mere “OK” or acknowledgement that: “He hadn’t actually known what he was about to say.” This is what is so singular about the storytelling of Flesh; it is spare rather than voluptuous, trimmed to the bone rather than fleshy.
There are jumps between chapters. We don’t hear about István’s time in a young offenders’ institution or anything at all about his father, for example. But we learn during an exit interview from the army that he’s “a brave man” and it’s clear that he is attractive to women, who perhaps perceive his taciturnity as masculine. We don’t hear what they think either.
David Szalay wins the Booker prize 2025.
Flesh wouldn’t pass the Bechdel test – a criteria for films that stipulates they should feature at least two named women who have a conversation about something other than a man. The novel is entirely focused on István’s point of view and all the women, apart from his mother, are those he chances upon – other men’s wives, the nanny employed by the family he works for – and then has a sexual relationship with. Sex comes his way; women try and fail to get him to talk.
Good fortune arrives along with the tragedies. István moves to London, working as a bouncer until, in another chance encounter and moment of fearlessness, he helps a man who wishes to repay this act. He offers to employ him in his private security agency. Like the women in the novel, men are also eager to exploit István’s physicality. This man grooms him for “higher-end work”, by paying for expensive suits and the necessary training courses, which István finds populated half by “foreigners, mainly from Eastern Europe”. It’s the start of his ascent into wealthy, sometimes corrupt, London society.
“Flesh” then refers to the way István is seen, as only a body, a member of the new working classes whose lives are defined by precarity. Kept outside, overhearing only his bare responses – “OK” – readers become complicit in this failure to consider all that man is. And it is precisely this innovative, spare narration that makes the novel so deeply affecting.
Looking for something good? Cut through the noise with a carefully curated selection of the latest releases, live events and exhibitions, straight to your inbox every fortnight, on Fridays. Sign up here.
This article features references to books that have been included for editorial reasons, and may contain links to bookshop.org. If you click on one of the links and go on to buy something from bookshop.org The Conversation UK may earn a commission.
Tory Young does not work for, consult, own shares in or receive funding from any company or organisation that would benefit from this article, and has disclosed no relevant affiliations beyond their academic appointment.
On entend souvent dire que l’effort est perçu comme désagréable, chacun étant enclin à céder aux sirènes du moindre effort. Mais alors, comment expliquer que tant de personnes se lancent, par exemple, dans des marathons, en dépit de l’effort évident qu’implique cette activité physique ? En décryptant les trois phases de l’effort (avant, pendant et après), nous pouvons lutter contre notre tendance naturelle à la paresse.
Se creuser la tête sur un puzzle, monter un escalier, pratiquer une activité physique intense… l’effort est consubstantiel à nombre de nos actions. Sa perception influence non seulement notre motivation immédiate à agir, mais aussi notre engagement durable dans le temps.
Souvent vu comme un coût, l’effort peut constituer une barrière majeure à l’engagement dans des tâches exigeantes, qu’elles soient physiques ou mentales.
L’effort, une composante essentielle de nos comportements
Pourtant, cette vision demeurait incomplète. Dans un même contexte donné, pourquoi certains d’entre nous s’adonnent-ils régulièrement – et parfois excessivement – à une activité physique, tandis que d’autres peinent à traduire leurs louables intentions en actions ? Certainstravauxmontrent que, si l’effort est souvent perçu comme aversif, il peut, chez certaines personnes et en fonction des situations, devenir une source de motivation, voire de plaisir.
Ce contraste illustre le « paradoxe de l’effort » : l’effort est à la fois perçu comme un coût et comme quelque chose de valorisé. Pour mieux comprendre ce paradoxe, et enrichir la théorie de la minimisation de l’effort en activité physique (TEMPA), nous avons proposé dans une publication scientifique récente de distinguer trois phases clé au cours desquelles la perception de l’effort influence de manière spécifique la régulation de nos comportements : avant, pendant et après l’action.
Avant l’effort physique : l’anticiper freine l’action
Avant de passer à l’action, notre cerveau évalue si le bénéfice potentiel vaut l’effort requis. Ainsi, entre monter un escalier ou prendre l’escalator, la tendance automatique de la plupart des personnes est d’éviter l’effort physique.
En conditions de laboratoire, des participants manifestent aussi une préférence spontanée envers les actions demandant moins d’effort, même sans percevoir consciemment la différence. Dans la vie quotidienne, cela se traduit par des comportements très concrets : plus de 90 % des individus optent pour l’escalator plutôt que l’escalier lorsqu’ils ont le choix.
Mais dans la vie réelle, le choix entre deux comportements ne se résume pas à la seule différence d’effort à fournir. Certaines activités exigeantes sur le plan physique, comme la course, la danse ou le jardinage, ou sur le plan mental, comme les mots croisés, les échecs ou le sudoku, sont aussi choisies en raison des récompenses qu’elles procurent, telles que le plaisir, la fierté, le bien-être, le sentiment d’accomplissement. Dans ces cas, l’effort anticipé peut certes constituer un frein, mais il ne suffit généralement pas à dissuader l’engagement dans une activité désirée.
Pendant l’effort : économiser l’énergie
Une fois engagés dans l’action, nous cherchons à limiter notre dépense énergétique en réduisant l’effort fourni – tout en atteignant nos buts. Par exemple, lorsque l’on court pour attraper un bus, on ralentit dès qu’on est sûr de l’attraper. Ce mécanisme, hérité de l’évolution, s’inscrit dans un héritage évolutif crucial à la survie.
Dès l’enfance, ce mécanisme d’économie d’énergie émerge. Les tout-petits passent d’une démarche maladroite à un pas nettement plus économe. En laboratoire. Des chercheurs ont même équipé des adultes d’un exosquelette – un cadre robotisé fixé aux jambes – pour rendre leur marche habituelle plus coûteuse. Ils ont alors observé que très rapidement ces derniers réajustent la fréquence et l’amplitude de leurs pas pour réduire l’effort à fournir, même lorsque les gains d’énergie sont minimes.
Ce résultat souligne comment notre système moteur s’adapte aux contraintes environnantes pour converger vers un optimum énergétique. Chez les coureurs d’élite, la foulée, le balancement des bras et la répartition de l’effort sont finement calibrés, démontrant l’importance de cette stratégie tant ici pour la performance sportive que plus largement pour la survie.
Ainsi, minimiser l’effort ne signifie pas refuser l’effort, mais l’employer judicieusement pour atteindre ses objectifs sans gaspiller d’énergie.
Après l’effort, la récompense perçue est renforcée
Après l’action, nous avons tendance à accorder d’autant plus de valeur au résultat que l’effort fourni a été important. Imaginez gravir une montagne à la force de vos mollets. Le sentiment d’accomplissement en magnifie la vue, alors qu’un trajet en téléphérique, aussi spectaculaire soit-il, laisse souvent un souvenir moins marquant. Cet effet, baptisé « Ikea effect » en référence à la satisfaction d’avoir soi-même monté ses meubles, montre que les récompenses gagnées au prix d’un effort paraissent plus gratifiantes.
En laboratoire, cet effet se vérifie par des mesures de l’activité encéphalographique. Lorsque les participants choisissent entre tâches à faible ou intense effort pour obtenir une récompense, l’activité neuronale associée à la récompense est plus intense après un effort élevé. Autrement dit, même si nous cherchons à éviter l’effort, une fois celui‑ci accompli, nous jugeons les gains obtenus d’autant plus gratifiants.
Ce phénomène, appelé justification de l’effort, est une forme de dissonance cognitive décrite il y a plus de soixante ans par le psychologue américain Leon Festinger. Ce mécanisme illustre comment, par réinterprétation, pour atténuer l’inconfort ressenti lors d’une tâche exigeante, nous justifions l’effort important consenti en attribuant une valeur supérieure au résultat obtenu. Cette théorie aide à comprendre le paradoxe de l’effort : bien que nous évitions généralement l’effort, il peut aussi être activement recherché car il signale l’obtention de récompenses potentielles.
Exploiter le rôle dynamique de l’effort pour promouvoir l’engagement dans des tâches exigeantes
En jouant sur les trois phases de l’effort, il est possible de remodeler la perception de l’effort et d’encourager, entre autres comportements, la pratique régulière d’activité physique.
Avant l’effort, ajuster les attentes liées à l’effort permettrait de lever les freins associés la surestimation de l’effort. De courtes séances d’initiation, un retour d’expérience personnalisé, ou une progression graduelle, aide à calibrer ces attentes, surtout chez les personnes les plus sédentaires. Attention toutefois : sous-estimer l’effort réel risquerait de provoquer une déception et de freiner les tentatives suivantes.
Pendant l’effort, détourner l’attention des sensations désagréables (fatigue, inconfort) à l’aide d’éléments externes (musique, environnement perçu comme agréable…), ou se projeter mentalement ailleurs, peut diminuer la perception de l’effort et améliorer les ressentis émotionnels. De même, adapter l’intensité, la durée et le type d’exercice aux préférences de chacun rend l’expérience plus agréable et renforce la motivation.
Après l’effort, il convient d’encourager la prise de conscience des efforts réalisés et des bénéfices immédiats (meilleure humeur, énergie, sentiment de vitalité et de bien-être…). En associant systématiquement l’effort à ces récompenses, on crée une dynamique vertueuse qui incite à persévérer.
Contrairement au fait d’évoquer les bénéfices à long terme sur la santé – même s’ils sont réels –, ce sont ces expériences affectives positives qui constituent l’un des leviers les plus puissants pour encourager une pratique régulière de l’activité physique.
L’effort, souvent vu comme un coût, peut aussi accroître la valeur que l’on perçoit d’une activité donnée, surtout quand cette activité procure in fine des bénéfices tangibles. Ce type d’associations pourrait expliquer pourquoi certaines personnes valorisent plus que d’autres, les tâches exigeantes, que ce soit mentalement ou physiquement.
La théorie de « l’ardeur apprise » suggère que l’effort devient gratifiant quand il est associé à des récompenses répétées, même simples comme des encouragements. Desétudesmontrent que des participants récompensés pour des tâches difficiles tendent à persévérer dans d’autres efforts, même une fois que les récompenses en ont été tirées.
Cependant, l’effort peut-il une récompense en soi ? D’un point de vue évolutif, économiser l’énergie est essentiel, et choisir l’option la plus économique semble logique. Chercher l’effort sans bénéfice peut être contre-productif, voire devenir pathologique (addiction, anorexie). L’effort devient valorisé quand il est associé à des expériences positives (fierté, sentiment de compétence). Ce n’est donc pas l’effort lui-même qui est gratifiant, mais ce qu’il permet d’atteindre, en dépit de son coût.
Apprendre à exploiter l’effort pour les bénéfices qu’il procure
L’effort guide nos comportements à chaque étape de l’action : avant, il façonne nos décisions ; pendant, il guide la manière dont nous allouons notre énergie ; après, il peut renforcer la valeur du résultat obtenu.
En jouant sur cette dynamique – recalibrer nos attentes, alléger le ressenti de l’effort en temps réel et souligner les récompenses glanées – on peut transformer l’effort en moteur durable d’engagement, voire susciter le goût de l’effort.
Plutôt que d’en subir le coût, nous apprendrions ainsi à exploiter l’effort pour apprécier les bénéfices qu’il procure.
Boris Cheval a reçu des financements de Rennes Métropole et de l’Union Européenne
Florent Desplanques et Silvio Maltagliati ne travaillent pas, ne conseillent pas, ne possèdent pas de parts, ne reçoivent pas de fonds d’une organisation qui pourrait tirer profit de cet article, et n’ont déclaré aucune autre affiliation que leur poste universitaire.
Jane Austen’s Paper Trail is a podcast from The Conversation celebrating 250 years since Jane Austen’s birth. In each episode, we’ll be investigating a different aspect of Austen’s personality by interrogating one of her novels with leading Austen researchers. Along the way we’ll visit locations important to Austen to uncover a particular aspect of her life and the times she lived in. In episode 2, we look at Jane the romantic, through the pages of Pride and Prejudice.
Every heroine in a Jane Austen novel ends up married. It is the bow on the end of every story that ties up all the loose threads – seemingly the ultimate happy ending. However, while marriage is an conclusion she chose for her characters, it is not one she chose for herself.
Austen did have suitors – most famously the dashing Irishman Thomas Lefroy, with whom she had a brief but intense flirtation. There were even proposals, notably one in 1802 from Harris Bigg-Wither, the wealthy brother of a friend, which she accepted only to promptly break off the very next morning.
It seems likely that Austen chose singledom, even though she was clearly preoccupied with romance and marriage. Many readers consider her one of history’s greatest writers of romance.
That her novels centre on love and marriage has sometimes led critics to dismiss them as light or frivolous. But beneath every courtship and proposal lies a sharp commentary on class, money, morality and the limited choices available to women in Georgian England.
Austen’s heroines are smart, capable women – often more so than the men in their lives, many of whom have made choices that have left their families in financial straits. But these middle-class women are unable to work and so must pursue the only option really available to them, marriage.
Nowhere is this tension clearer than in Austen’s second novel, Pride and Prejudice. Published in 1813, it follows Elizabeth Bennet – bright, outspoken, and sceptical of society’s conventions. Unluckily for her, she has a mother who is obsessed with securing suitable marriages for her and her four sisters – an obsession that is sent into overdrive when the eligible Mr Bingley moves into the neighbourhood, bringing his arrogant but equally eligible friend Mr Darcy with him.
In the second episode of Jane Austen’s Paper Trail, as we explore romance in the world of Jane Austen, Naomi Joseph visits a Regency ball at the Grand Assembly Rooms in York with Meg Kobza. An expert in the Georgian social calendar, at Newcastle University, Kobza has produced similar recreations at the Bath Assembly Rooms – where Austen attended balls and was courted by several men.
As dancers in all manner of Regency dress attempt a minuet in the soft candlelight of the main ballroom, Kobza helps us understand the complicated relationship Austen had with romance.
Over the course of Pride and Prejudice, Lizzie, and the other women in her life, must navigate their feelings on the whole institution of marriage. There are marriages of convenience, potentially socially ruinous unions, hasty weddings, quiet passions and, of course, love matches – and Austen seems to have opinions on them all.
“Jane herself was dependent on her father and then later her brothers for financial security. And we see in many of her novels financial security is driving a lot of her heroines to opt for or against certain matches,” says Kobza. “If you didn’t get married at all, you became a spinster, you’re a burden to your family.”
Later on in the episode, Anna Walker takes a deeper dive into Austen’s view of romance in Pride and Prejudice with two more experts. Octavia Cox is a lecturer in 18th and 19th century literature at the University of Oxford, and founder of the popular YouTube channel All Things Classic Literature. Joining her round the table is Adam J. Smith, an associate professor in English literature at York, St. John University who researches satire and the gothic, romantic and sentimental genres.
As Cox explains, Pride and Prejudice is “a joyful love story in that the two central characters, Darcy and Lizzie talk about and value happiness and how to achieve happiness. But there’s a lot more going on too.” Smith agrees: “The more I read Austen, the more I feel that all of the books are really about how to read and understand and interpret the world.”
Listen to episode 2 of Jane Austen’s Paper Trail wherever you get your podcasts. If you’re craving more Austen, check out our Jane Austen 250 page for more expert articles celebrating the anniversary.
Disclosure statement:
Meg Kobza recieved funding from the Leverhulme Trust and the British Academy and the Society of Antiquaries funded the Bath fancy dress pop up ball and exhibition.
Adam J Smith sits on the Senate of the British Society for Eighteenth-Century Studies, which is a registered charity.
Octavia Cox does not work for, consult, own shares in or receive funding from any company or organisation that would benefit from this article, and have disclosed no relevant affiliations beyond their academic appointment.
Jane Austen’s Paper Trail is hosted by Anna Walker with reporting from Jane Wright and Naomi Joseph. Senior producer and sound designer is Eloise Stevens and the executive producer is Gemma Ware. Artwork by Alice Mason and Naomi Joseph.
Listen to The Conversation Weekly via any of the apps listed above, download it directly via our RSS feed or find out how else to listen here.
Prince William says it was a “balancing act” for himself and his wife to share details of the family’s recent health challenges, including Catherine’s and King Charles’s cancer diagnoses.
In a rare and candid interview in Brazil, the prince said that “hiding stuff from them doesn’t work”.
He was responding to a question about how the couple had approached difficult moments with their three children — Prince George, 12, Princess Charlotte, 10, and Prince Louis, seven.
The princess spoke about her cancer diagnosis in a video in early 2024, after months of speculation about her health.
Over the past four years, terminal ovarian cancer has been shoving Cora Torr, 61, towards life’s exit door. To offset this rude intruder, she’s enlisted the help of a death doula.
The 43-year-old announced in March last year that she was undergoing treatment after tests following major abdominal surgery revealed she had cancer. She has never spoken publicly about the type of cancer.
“Every family has its own difficulties and its own challenges,” Prince William said in an interview with Brazilian TV host Luciano Huck.
“I think it’s very individual and sort of moment-dependent as to how you deal with those problems.
“We choose to communicate a lot more with our children, now that has its good things and its bad things.
“Sometimes you feel you’re oversharing with the children [and] you probably shouldn’t.
“But most of the time, hiding stuff from them doesn’t work.”
The Prince of Wales said explaining to the children “how they feel” and “why that’s happening” could sometimes help give them “a bigger picture”.
King Charles, pictured with Prince George and Kate as well as Queen Camilla, is continuing to receive treatment for cancer.
AFP / JACK TAYLOR
“They can relax more into it rather than being really anxious about ‘what are you hiding from me?'” he said.
“There are a lot more questions when there are no answers.
“How much do I say? What do I say? When do I say it?”
William spoke to Huck in Rio de Janeiro ahead of the Earthshot Prize awards ceremony earlier this month. He is the founder of the awards.
The prize, now in its fifth year, encourages inventors and entrepreneurs to develop technologies to combat global warming and mitigate its impact.
The prince later attended the 30th UN Climate Change Conference, known as COP30, in Belém.
William also said the couple’s three children did not have phones.
He said Prince George might be allowed to have a phone with “limited access” when he attended secondary school next year.
“It’s really hard,” he said.
“We communicate why we don’t think it’s right, and again, I think it’s the internet access I have a problem with.
“I think children can access too much stuff they don’t need to see online.”
Recently, the Princess of Wales warned that smartphones and other digital devices threatened the development of young children, in an essay published by Catherine’s Royal Foundation Centre for Early Childhood.
– Published by EveningReport.nz and AsiaPacificReport.nz, see: MIL OSI in partnership with Radio New Zealand
On 7 October 2023, Eli Sharabi was kidnapped by Hamas and held for 491 days.
He and his wife Lianne and two teenage daughters Noiya and Yahel were in their home on a kibbutz in Southern Israel when the attack happened.
When Sharabi and his wife realised he was likely going to be kidnapped they made the “cold” decision to protect their daughters.
Palestinian Hamas fighters escort Israeli hostages (L-R) Ohad Ben Ami, Or Levy and Eli Sharabi on a stage before handing them over to a Red Cross team in Deir el-Balah, central Gaza, on 8 February 2025.
Abdel Kareem Hana / AP via CNN
– Published by EveningReport.nz and AsiaPacificReport.nz, see: MIL OSI in partnership with Radio New Zealand
Hungarian British author David Szalay has won the prestigious Booker Prize, worth £50,000 (NZ$116,713), for his dark but strangely humorous book, Flesh.
The novel charts the life of the taciturn loner István, living in a housing estate in Hungary. His life is shaped by the affair he has as a teenager with his middle-aged neighbour.
Jumping forward in time each chapter, Flesh takes István from his small hometown to the Middle East, where he waits for a flight home after serving in the Iraq War.
Roddy Doyle, chair of the Booker judges, called this year’s shortlisted books “brilliantly written and brilliantly human”.
Yuki Sugiura for Booker Prize Foundation
– Published by EveningReport.nz and AsiaPacificReport.nz, see: MIL OSI in partnership with Radio New Zealand
En la Navidad de 2011, la llegada de Diego Pablo, el Cholo, Simeone al banquillo del Atlético de Madrid transformó al club. Desde el primer día, el técnico argentino, que en los noventa del siglo pasado había sido jugador y capitán del club, imprimió de inmediato una mentalidad nueva que ha sido el eje sobre el que ha girado la reconstrucción institucional y deportiva del Atlético de Madrid.
En noviembre de 2025, la evolución del Atlético de Madrid da un paso más –esta vez desde el punto de vista de su estructura de propiedad– con la entrada como accionista mayoritario de Apollo Sports Capital (ASC), una filial del grupo Apollo Global Management, especializada en inversiones en el ámbito deportivo y del entretenimiento.
El verano de 2011 marcó un punto de inflexión para el Atlético de Madrid. Concluida la temporada 2010-2011, el argentino Sergio Agüero anunció que su “etapa en el Atlético de Madrid había terminado”, lo que desencadenó una intensa oleada de salidas que se han recordado como “la desbandada”.
En cuestión de semanas se materializó la marcha de figuras como Diego Forlán o David de Gea, mientras el equipo apenas había reforzado su plantilla. Esto generó enormes dudas sobre la capacidad del técnico Gregorio Manzano para afrontar la pretemporada con garantías. Esa conmoción estructural reflejaba, más que un simple mercado de traspasos, una crisis de proyecto, de identidad deportiva y de continuidad en el club rojiblanco. La marcha de los referentes dejó al Atleti debilitado, con un calendario exigente y sin apenas margen de error.
Unos meses después de ese convulso verano, la realidad no era mucho mejor. El Atleti fue eliminado tempranamente de la Copa del Rey por el Albacete Balompié (un equipo de Segunda División) y, al llegar diciembre de 2011, ocupaba una posición cercana a los puestos de descenso.
En ese contexto de crisis deportiva (que amenazaba con volverse estructural) llegó, el 23 de diciembre de 2011, la decisión que marcaría un punto de inflexión para el club: la contratación de Diego Pablo Simeone como nuevo entrenador del equipo.
Primera entrevista del Cholo Simeone como entrenador del Atleti, 27 de diciembre de 2011. Fuente: YouTube, Atlético de Madrid.
La era Simeone: crecimiento y éxitos
La evolución del Atleti durante la era Simeone es un caso ejemplar de simbiosis entre éxito deportivo y crecimiento institucional. Desde su llegada a finales de 2011, el técnico argentino ha conquistado dos Ligas, dos Europa League, dos Supercopas de Europa, una Copa del Rey y una Supercopa de España. Además, ha disputado dos finales de la Liga de Campeones.
Este palmarés –sin precedentes en la historia moderna del club– ha coincidido con una expansión sostenida en sus dimensiones sociales y económicas: el número de socios superó los 140 000 (más del doble que en su primer año) y la facturación pasó de unos 100 millones de euros a rozar los 400 millones.
El éxito sobre el césped impulsó una marca global que permitió financiar su mudanza del Manzanares al nuevo estadio, el Metropolitano, de la avenida de Arcentales, y situar al club entre las veinte entidades deportivas más valiosas del mundo. Un salto que parecía impensable en el verano de “la desbandada”.
Nueva estructura accionarial
Según el acuerdo anunciado el 10 de noviembre de 2025, ASC se convertirá en el principal propietario del club, aunque sus actuales máximos dirigentes, Miguel Ángel Gil y Enrique Cerezo, seguirán siendo accionistas (minoritarios) y conservarán sus cargos de consejero delegado y presidente, respectivamente.
El pacto contempla una inyección de capital destinada a respaldar los planes de largo plazo del club: reforzar la solidez financiera, la competitividad deportiva y el compromiso con la comunidad. También está el desarrollo de la Ciudad del Deporte, en las inmediaciones de su estadio, que por cuestiones de patrocinio y por lo menos hasta 2033 se llama Riyadh Air Metropolitano.
La nueva propietaria del Atleti es una empresa especializada en inversiones en deporte y entretenimiento. Se trata de un holding de capital permanente; esto es, que no opera con plazos fijos de salida (como los fondos de private equity tradicionales), sino que pretende mantenerse como socio a largo plazo en las entidades deportivas en las que invierte. En el contexto de la operación con el Atlético de Madrid, este perfil encaja con la estrategia anunciada de reforzar la solidez financiera, la competitividad deportiva y el desarrollo de infraestructuras asociadas al club.
Si el propósito último de un fondo como Apollo Sports Capital es crear valor, resulta inevitable preguntarse, ¿qué puede generar más valor para un club de fútbol que ganar la Liga de Campeones?
Éxitos deportivos y ganancias económicas
En la historia reciente, inversores individuales como Roman Abramóvich en el Chelsea o Silvio Berlusconi en el Milan demostraron que la conquista del gran título europeo puede multiplicar tanto el prestigio global como el valor económico de una entidad deportiva.
Sin embargo, mientras aquellos proyectos se sustentaron en el mecenazgo personal y una lógica de gasto ilimitado, los fondos institucionales como Apollo operan bajo parámetros distintos: buscan estabilidad financiera, sostenibilidad y retornos medibles en el tiempo.
Entonces, la pregunta es si el modelo de capital paciente –en los que la inversión es a largo plazo y no se espera un retorno rápido sino beneficios más sustanciales a futuro– puede compatibilizarse con la naturaleza imprevisible y emocional del fútbol de élite.
Win-win: aficionados y accionistas
El gran desafío del Atlético de Madrid en esta nueva etapa será armonizar los intereses de sus grupos de interés (stakeholders): los aficionados –la base emocional e histórica del club– aspiran a fichajes ambiciosos, victorias resonantes y, en última instancia, a títulos. Mientras, los nuevos accionistas persiguen la sostenibilidad económica y la creación de valor a largo plazo.
Conciliar ambas dimensiones no es tarea menor, implica redefinir la gobernanza del club para equilibrar pasión y prudencia financiera. El Atlético ya ha sido pionero en la exploración de nuevos modelos de relación con su comunidad: a comienzos de 2020 lanzó, a través de la plataforma socios.com, fan tokens con los que pretendía, mediante la tecnología blockchain, hacer sentir a sus seguidores más partícipes del día a día del club a sus seguidores. No obstante, hoy, esos activos cotizan en valores mínimos, reflejo del escaso papel real que han tenido los tokenistas en la toma de decisiones.
El reto para el Atlético de Madrid es aún más complejo si se enmarca en el ecosistema particular del fútbol español, históricamente dominado por el FC Barcelona y el Real Madrid. Ambos clubes concentran la mayoría de los ingresos comerciales y televisivos, y, además, ejercen una influencia estructural sobre la narrativa mediática e institucional. Su capacidad para duopolizar la atención (y con ello la facturación derivada de patrocinadores, audiencias y derechos de imagen) deja a los demás competidores en una posición desigual y de desventaja.
La trayectoria del Atlético de Madrid en los últimos quince años resume, en buena medida, la transformación del fútbol europeo en una industria global. De la crisis identitaria de 2011 pasando por la consolidación del cholismo hasta la actual entrada de Apollo Sports Capital, el club ha pasado de ser una institución con problemas estructurales a convertirse en un activo financiero de interés internacional.
Pero esta evolución también plantea una paradoja: cuanto más sólido es el proyecto empresarial más difícil resulta preservar su alma popular. El desafío para el Atleti (y, por extensión, para el fútbol moderno) está en encontrar el punto de equilibrio entre capital y sentimiento, entre el beneficio económico y la pertenencia emocional.
Si lo logra, podrá demostrar que, en el siglo XXI, todavía es posible competir con los gigantes sin perder la esencia de club que, durante más de un siglo, ha hecho latir a varias generaciones de rojiblancos.
Jose Torres-Pruñonosa es socio del Futbol Club Barcelona.
Benito Pérez-González es socio-abonado del Atlético de Madrid
Raúl Gómez Martínez no recibe salario, ni ejerce labores de consultoría, ni posee acciones, ni recibe financiación de ninguna compañía u organización que pueda obtener beneficio de este artículo, y ha declarado carecer de vínculos relevantes más allá del cargo académico citado.
Con el carbón, empezó la Revolución Industrial. Facilitó la obtención del hierro y el acero para fabricar máquinas que se movían gracias al trabajo mecánico del motor de vapor que, a su vez, funcionaba con carbón. La capacidad de trabajo de un obrero se multiplicó. Fue el inicio del período de progreso más espectacular de la humanidad.
Actualmente, nos resulta evidente la relación entre la disponibilidad de fuentes abundantes de energía y el desarrollo económico y social. Sin embargo, el papel singular de la energía en el funcionamiento de las sociedades avanzadas no se reveló de forma indiscutible hasta que los países de la OPEP limitaron la extracción de petróleo. Fue el origen de las crisis de los años 1973-1975 y 1979-1981.
Sin relación de causalidad
Desde entonces, hemos interiorizado la convicción de que el progreso económico, medido según el producto interior bruto (PIB), solo es posible con un incremento sostenido del consumo de energía. Aceptando que así ha sido durante décadas, no podemos caer en el error de pensar que es la generación de energía la que impulsa el crecimiento económico.
Se está produciendo, pues, el desacoplamiento deseado entre el consumo de energía y el crecimiento económico. En los países avanzados, es la actividad económica la que acaba determinando el consumo de petróleo, gas, carbón o electricidad; no es la oferta de energía la que determina el crecimiento económico.
Renovables y crecimiento
En el contexto actual de transición energética, esta reflexión es necesaria para evitar caer en la trampa de creer que limitando el despliegue de las energías renovables se obtendrá un decrecimiento de la economía, ya que la economía sigue su dinámica propia.
Si la producción de energía renovable no es suficiente, las empresas (y las familias) continuarán consumiendo combustibles fósiles, a pesar de las normativas que se dicten en su contra. Las prohibiciones o limitaciones serán insostenibles si, por ejemplo, conllevan un incremento del paro o una disminución del bienestar.
El crecimiento continuado del consumo de bienes y servicios pone en riesgo la sostenibilidad de la civilización global. Ahora bien, la solución no pasa por limitar el despliegue de las energías renovables. Los problemas derivados del crecimiento económico deben resolverse desde la economía, no desde la energía. Si lo hacemos al revés, o caeremos en el caos social o agravaremos aún más la crisis climática, ya de por sí crítica.
La oposición al despliegue de las energías renovables con el argumento de que la economía debe decrecer es un gran regalo a las compañías petroleras. No está de más recordar que, por suerte o por desgracia, tenemos combustibles fósiles para muchas décadas.
Una de las condiciones de supervivencia de la civilización pasa por saber vivir mejor con menos. Sin embargo, no intentemos conseguir este objetivo estrangulando la economía con un despliegue insuficiente de energía renovable. Supeditando este despliegue a un decrecimiento de la economía no tomaríamos un atajo, sino que daríamos un rodeo.
Vale la pena recordar, por otro lado, que la transición energética trae consigo un decrecimiento respecto al consumo de los combustibles fósiles en dos aspectos clave. Primero, una mejora substancial de la eficiencia energética asociada con la electrificación, es decir, un decrecimiento energético –por ejemplo, el caso del coche eléctrico–. Y, segundo, una reducción drástica de las emisiones de gases de efecto invernadero –por ejemplo, los asociados a la generación de electricidad–.
Pere Roura Grabulosa es miembro del colectivo Renovem-nos
Source: The Conversation – (in Spanish) – By Ana Corachán García, Investigadora Postdoctoral en Medicina Reproductiva, Instituto de Investigación Sanitaria La Fe
Una de cada tres mujeres en edad reproductiva presenta miomas uterinos, unos tumores que crecen en la capa muscular del útero. A pesar de ser benignos, causan síntomas que afectan notablemente a la calidad de vida. En concreto, las personas afectadas experimentan reglas abundantes y dolorosas, anemia, dolor en la parte baja del abdomen, incontinencia urinaria, infertilidad y aborto recurrente.
Aunque existen distintos tratamientos, como terapias hormonales y procedimientos quirúrgicos, no hay ninguno totalmente eficaz ni sin efectos secundarios. Pero ¿y si algo tan sencillo e inocuo como la vitamina D fuera la solución? Veamos primero cómo se aborda actualmente este extendido problema.
Los límites de los tratamientos
El tratamiento más habitual es la cirugía. Existen dos opciones: la eliminación solo de los miomas, conocida como miomectomía, o la extirpación del útero completo, lo que se conoce como histerectomía. Este último es el único método capaz de eliminarlos por completo, pero también impide que las pacientes puedan quedarse embarazadas en el futuro.
En cuanto a la miomectomía, más de la mitad de las mujeres vuelve a presentar miomas en los cinco años posteriores a la cirugía. Por tanto, a pesar de ser un tratamiento muy invasivo, no es efectivo. Además, estas intervenciones suponen un alto coste a los sistemas de sanidad: el gasto anual estimado es de 34 000 millones de dólares en Estados Unidos, 348 millones de euros en Alemania y 120 millones en Francia.
Como alternativa, existe la opción de los medicamentos. Para comprender cómo funcionan, debemos tener en cuenta que son las hormonas sexuales, los estrógenos y la progesterona, los que controlan el crecimiento de los miomas. Basándose en esto, los fármacos bloquean la acción de dichas hormonas.
Ahora bien, las hormonas sexuales tienen un papel clave en la reproducción femenina. Esto quiere decir que los medicamentos que las bloquean producen síntomas similares a la menopausia como sofocos, osteoporosis e infertilidad. Por este motivo, no pueden administrase durante periodos largos, lo cual conlleva que los miomas vuelvan a crecer cuando se deja el tratamiento. Además, al causar infertilidad, tampoco son una opción en mujeres que quieran quedarse embarazadas.
Pero en primer lugar, ¿qué es la vitamina D? Conocida como “la vitamina del sol”, ya que la mayor parte se produce naturalmente en la piel con la exposición a la luz solar, se trata de un nutriente esencial para que el cuerpo humano funcione correctamente. Su cometido principal reside en ayudar al organismo a absorber el calcio, un proceso necesario para tener huesos fuertes y sanos.
Aunque eso no es todo. También resulta indispensable para el adecuado funcionamiento del sistema inmunitario, muscular y nervioso. De hecho, los niveles bajos de vitamina D se relacionan con multitud de enfermedades.
Experimentos prometedores
Para averiguar si la vitamina D puede ser un tratamiento viable de los miomas, el primer paso fue estudiar su efecto en el laboratorio. Los primeros experimentos demostraron que frenaba el crecimiento de las células de mioma cultivadas in vitro. Después, se confirmó que reducía el tamaño de estos tumores en un modelo animal de ratón, sin efectos secundarios sobre su salud.
Esos resultados sentaron las bases para evaluar el tratamiento en mujeres con miomas y déficit de vitamina D. En primer lugar, los investigadores comprobaron que cuando las afectadas eran tratadas con dosis altas de esa vitamina, el crecimiento de los miomas se frenaba.
Sin embargo, hay que tener en cuenta que un exceso de vitamina D es malo: puede causar náuseas, vómitos, debilidad o fallo en el funcionamiento de los riñones. Teniendo esto en cuenta, un estudio reciente ha demostrado que dosis bajas de la vitamina reducen también el tamaño de los miomas. Estos confirma que no hace falta usar cantidades tan elevadas para frenar su crecimiento, reduciendo los posibles efectos secundarios de la terapia.
Los resultados son esperanzadores, pero hay que tener en cuenta que el efecto de la vitamina D solo se ha probado en mujeres con niveles de este nutriente por debajo de la normalidad. Esto quiere decir que no se sabe si reduciría el tamaño de los miomas en mujeres con niveles normales.
Por último, es importante recordar que el tratamiento siempre debe ser prescrito por personal sanitario cualificado, dado el riesgo de ingerir dosis elevadas de esa vitamina. Además, cada mujer y cada mioma son únicos, por lo que los tratamientos pueden variar de una persona a otra.
En resumen, la vitamina D podría frenar el crecimiento de los miomas o incluso prevenir su aparición. Es un tratamiento seguro, sin efectos negativos sobre la fertilidad y, además, económico. Su uso podría mejorar la calidad de vida de muchas mujeres y reducir los costes para los sistemas de salud públicos. Aunque todavía se necesitan más estudios, parece que podría ser una clave para acabar con los miomas.
Ana Corachán García recibe fondos del Instituto de Salud Carlos III (CD23/00157) y la Conselleria de Educación, Cultura, Universidades y Empleo (Comunidad Valenciana) (CIGE/2023/072).
Hortensia Ferrero recibe fondos del Instituto de Salud Carlos III, Cofundado por el Fondo Social Europeo (FSE) «Invertir en tu futuro» a través del Programa Miguel Servet (CP20/00120); (PI21-00184) y (PI24/00961), así como del Ministerio de ciencia e Innovación y Universidades (CNS2024-154868).